
En dehors du titre (ça commence fort) et de la présence de l'adorable Merle Oberon belle comme une grive, ce mélodrrrrrrrrame des thirties n'est guère mémorable. Des personnages gentils comme du bon pain (en dehors de cette pauvre tante revêche et de ce grand couillon de Lawrence, son fils, qui ne pèsent pas bien lourd), une intrigue tire-larme comme on en fait plus (la guerre, ses morts, ses blessés dont ce type qui devient aveugle et décide que nan, vraiment, nan, il ne veut pas devenir une charge pour celle qu'il aime, nan elle...
[Lire la suite]