FRANKLIN Carl

On peut toujours essayer, même dans les eightie's, de retrouver le feeling des bons films noirs d'après-guerre. On peut essayer de chiader son décor, de fourbir un maximum de bagnoles vintage, de soigner les costumes et même de faire reposer son récit sur un scénar suffisamment alambiqué pour que vienne dans l'esprit du spectateur le souvenir d'un certain Faucon maltais auquel personne ne comprit jamais rien mais que d'aucuns trouvèrent génial. On peut aussi tenter de la jouer un peu moderne dans sa thématique en teintant son "film... [Lire la suite]