
La première moitié de ce film (réalisé par un type dont je ne connaissais rien) m'a franchement touché, et rien que pour ça je ne peux que dire du bien de Sundown. Déjouant toutes les attentes du spectateur avide de psychologie, voire de féminisme de pacotille, Franco prend une option en effet surprenante et amenant son film vers des contrées beaucoup plus profondes et passionnantes ; le début de ce film ne nous présentera pas les affres d'une femme (Charlotte Gainsbourg, anecdotique) incomprise et abandonnée, mais le portrait d'un...
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