
Le sourire ultra bright d'un Jim Carrey bronzé comme un hippopotame et la coiffure de blonde peroxydée d'Ewan McGregor donnent, déjà, sur l'affiche l'envie de se fendre la pipe - jeu de mots ? Mouais allez, jeu de mots. Quand on voit apparaître le nom de Luc Besson au générique - en tant que producteur -, on commence cependant immédiatement à serrer des fesses. Puis on se dit qu'avoir des préjugés c'est mal, et on entre dans le film comme tonton dans tata à la bonne époque. L'entrée en matière est relativement survitaminée - on ne...
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