
"Dommage que le corps des femmes ne soient des fleuves, sinon on pourrait s'y noyer."
Cette oeuvre de Fedorchenko où il est question de lointaines traditions finno-russes est une toute petite chose - deux hommes partent dans un cours voyage pour réaliser la crémation de la femme de l'un d'eux au bord d'un lac - aussi légère (et oubliable, rajouterait caustiquement l'ami Gols) qu'une poésie en vers libre. Fedorchenko nous initie aux rites de sa contrée (du tressage de fils multicolores dans la toison de sa douce à l'heure de son...
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