
C'est malheureux, comme disait ma grand-mère, que l'on puisse voir ce genre d'images et de "film-reportage" avec quatorze ans de retard. Qu'il s'agisse de la première partie ("avant la chute" de Saddam Hussein) comme de la seconde ("après la bataille" et l'invasion de l'Irak par les Ricains), on eut aimé qu'un quelconque journaliste indépendant nous montre en temps et en heure cette vie quotidienne, sans a priori, sans subjectivité voyante, sans voix off polluante, simplement. On pourrait faire des reproches aux journalistes, mais...
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