
Cogan, soyons direct et lapidaire, est une terrible daube sur laquelle il ne sert à rien de s’attarder. Dominik arrive avec des plombes de retard sur Scorsese et nous sert un pauvre film noir sur la mafia daté avant même d’être sorti. Le discours politique asséné en fond est ultra lourdingue (un discours d’Obama, ça va, vingt-huit, c’est trop : on a bien compris que c’était la crise et que les temps étaient durs pour tout le monde), les séquences sont bavardes et étirées à l’infini (du déjà vu avec aucune once d’humour), les...
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