
Il faut vraiment que les critiques françaises aient pas grand-chose à se mettre sous la dent en période estivale pour traiter ce film comme un "charmant portrait de l'émoi adolescent", "toujours à la bonne distance", "qui assumme parfaitement sa modestie", etc. (je cite de mémoire, mais ça ressemble à ça). Et Toi t'es sur qui a certes des côtés charmants, un peu comme La Boum à son époque si vous voulez, film d'ailleurs qui semble être une référence à peine voilée ici. Lola Doillon choisit elle aussi de...
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