
Voilà une adaptation de Pouchkine qui a résolument de la classe : un noir et blanc absolument divin au niveau des contrastes, une interprétation toute en finesse (d'Anton Walbrook à Edith Evans en passant par Yvonne Mitchell et la présence fugace mais inoubliable d'une certaine Pauline Tennant - un léger strabisme fracassant), quelques séquences terriblement efficaces et marquantes - en particulier sur la fin où Anton est littéralement "possédé" par ce démon du jeu et de la réussite -, une musique signée George Auric...
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