
Ah oui, le temps s'en va, le temps s'en va, madame, comme dit le poète. Ce film, que j'avais trouvé bouleversant à l'époque, est devenu aujourd'hui une sorte de navet littéraire du plus clinquant effet. Bien l'impression que c'est le cinéma de Deville dans son ensemble qui est victime du poids des ans, mais quand même : Nuit d'été en Ville atteint des sommets.
Soit donc un couple glamour (Jean-Hugues Anglade, tout craquant même en survêtement moule-burnes et Marie Trintignant, jolie frimousse), qui passe sa première nuit ensemble....
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