
Ce qui touche, dès les premières images de cette œuvre sublimement rénovée par la cinémathèque française (j'aime les vieilles péloches bouffées par les mites / mythes mais quand on a une image aussi belle, si fidèle sans doute à l'original, on ne peut qu'applaudir à deux mains), c'est l'aspect "réaliste" de la chose : un homme marche dans un village basque, sans précipitation, quelques plans suffisent ensuite pour nous présenter les coutumes locales, avant que l'on retrouve le pas nonchalant de notre homme. Lorsqu'il rend...
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