
Que voilà un bon, gros et solide navet, un de ces films soit-disant cultes que je n'avais jamais vus. En ces approches de Noël (on est quand même le 25 octobre), et avide de sentiments faciles, j'ai donc envoyé la chose. Mon Dieu... C'est bien au-delà du bon sentiment, bien au-delà du mièvre, et bien en-dessous du crapoteux par ailleurs. La Ligne verte flatte les plus bas instincts de son public, dans une posture judéo-chrétienne effrayante : on a envie de voir des salauds souffrir, mais on fait semblant de compatir ; on est pour la...
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