
Voilà un film argentin (bon, sans rancune) qui prend tout son temps (plus de 4 heures au compteur quand même) mais qui charme par sa formidable structure narrative (douze chapitres clairement découpés mais des allers-retours constants entre présent de narration et passé et des sautes d'un personnage l'autre magnifiquement amenées) ; le film, présent au dernier festival de Venise, sortira en France, en deux parties, au mois d'avril, et je donne ma main à couper qu'on en reparlera sérieusement alors. Le point de départ est en soi...
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