
Encore un miracle du cinéma russe : une histoire simple comme bonjour - un jeune homme et une jeune femme qui se regardent plus qu'il ne parlent - sur fond de deuxième guerre mondiale. Aussi puissant et touchant que Quand passent les Cigognes, bref, un pur moment de bonheur.
Le jeune Alyosha se retrouve seul sur le front, pourchassé par 4 tanks allemands - on a droit à ce plan de ouf, où la caméra pivotante termine sur un plan à l'envers, Alyosha perdant pied devant le danger. Mais, dans un geste de désespoir, il se ressaisit,...
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