
Quatorze ans avant la mort de l'histrion du Festin Nu, Brookner composait un petit portrait de notre homme bien encadré : on y croise ainsi, notamment ce bon vieux Ginsberg et ses yeux de travers (son ancien amant), le gars Bacon qui passe à la bonne franquette, son (regretté) fils Mortimer (un peu trop sous « influence »), une poignée d'écrivains, son nouvel assistant et jeune amant... Entre deux lectures en public plus ou moins poilantes (qui donnent d’ailleurs envie de se replonger dans l'œuvre du Sieur dont on a lu...
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