
Je veux bien donner une deuxième chance aux réalisateurs qui m'avaient soulé auparavant (et après les miteux Shallow Grave et Trainspotting du même Danny Boyle, c'est même une troisième chance), mais c'est à la condition qu'ils ne refassent pas les mêmes erreurs. Or, dans 28 Days later, Boyle patauge à nouveau dans les mêmes traces de pas, et ça finit par être embêtant.
Un gars se réveille sur une musique de John Murphy, après un coma, et s'aperçoit que Sarkozy est au pouvoir (c'est comme ça que je l'ai compris, moi) : il ne reste...
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