
Dans Excalibur, l'important, c'est le "ex". Ben oui, parce que, il faut bien reconnaître que 27 ans plus tard, cette histoire de chevalerie a pris pas mal de rides, et qu'on a aujourd'hui plus tendance à afficher un sourire ironique qu'à trembler pour les mésaventures d'Arthur et de ses potes. Finalement, les créateurs de Sacré Graal ou de Kaamelot, on s'en rend compte, ont à peine forcé le trait pour se moquer de ce genre de productions : difficile d'éviter le ridicule achevé en montrant des gusses engoncés dans des armures...
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