
Une petite rareté espagnole à base de mâles postures, de mains qui claquent, de coups de couteau dans les ruelles et de cris stridents (genre "aïïïïï-rrraïïïïï-lalaïïïïï") : c'est du flamenco sur un canevas de flamenco avec des danseurs de flamenco, tradition tradition. Beleta s'appuie sur cette histoire de vengeance et de donzelle égarée pour déclarer sa flamme à la danse et à l'Espagne du siècle dernier, rien à lui reprocher. C'est clinquant, très stylisé, avec notamment des écrans tout rouges quand la mort rôde ou des...
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