
Il y a un petit côté Guy Delisle dans la (fausse) naïveté du regard que pose Olivier Azam sur ce qui l'entoure. Même le postulat de départ est semblable aux projets de l'auteur de Chroniques de Jérusalem : le compère est envoyé en Afghanistan, très peu de temps après la chute des talibans en 2002, dans un climat d'effervescence assez incroyable, pour aider les gusses de là-bas à monter un film. Ce film est constitué de toutes les images qu'ils ont pu rassembler, et qui ont été interdites pendant les années noires. Je déboule à Kaboul...
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