
Regardez l'affiche de Righteous Kill, vous avez vu tout le film. La rencontre De Niro/Pacino semble être le but ultime de Jon Avnet : à partir du moment où il les a réunis, son film lui paraît bouclé. Qu'importe le scénario ou une quelconque vélléité de mise en scène ? Il a tort, est-il nécessaire de la préciser ? D'abord parce que le fameux duo ne tient jamais la route : pitoyable De Niro, décidément complètement fini, grimaçant, pataud, jouant pour la galerie, cherchant des bribes de glamour dans les yeux de ses partenaires...
[Lire la suite]