
Eh oui, Anouilh n'a pas écrit que des conneries, il en a filmées aussi. C'est la curiosité qui m'a poussé vers Deux Sous de violettes, histoire de vérifier si le bon Anouilh ne serait pas par hasard passé à côté de sa carrière de réalisateur en se perdant dans celle d'auteur dramatique (saurez-vous deviner le niveau d'estime que je porte au gars ?). Eh bien, non, pas du tout. Voici le film le plus fade de la chrétienté, un machin ni fait ni à faire d'un vide total, dont on ne tirera franchement aucun plaisir, même si on est amoureux...
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