
Aucun doute : on tient là la pierre de touche du cinéma de Theo Angelopoulos, cinéaste que je redécouvre à chaque fois avec des petits cris de joie. Comme à chaque fois que je m'aventure dans son œuvre, j'en ressors avec le sentiment de retrouver un cinéma disparu, comme on n'en fait plus et, quitte à paraître réac, j'ajouterais "comme on ne sait plus en faire" : un cinéma de mouvements, de grue, d'appareils, de travellings, de technique, tout ça mis au service d'un scénario ample et symbolique, tout le monde choisi pour son plus...
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