
A peine âgé de 27, Roy Andersson signe son premier long métrage : inspiré de son propre aveu par les films de la Nouvelle Vague, mais également des films russes et tchèques du début des années 60, il signe un film d'une grande fraîcheur tout en faisant un constat amer et d'un lourd cynisme sur le monde des adultes dans cette société suédoise; il trouve un parfait contraste entre une histoire d'amour adolescente naissante et le monde pathétique de cette classe moyenne résolument moyenne.
C'est fou comme on n'a plus du tout...
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