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8 octobre 2007

Capitaine sans Peur (Captain Horatio Hornblower R.N.) (1951) de Raoul Walsh

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Voilà bien longtemps que je n'avais pas vu un film sur un bateau... (c'est Lifeboat qui a dû me faire envie). Le corsaire Raoul Walsh nous embarque donc en pleine guerre napoléonienne aux côtés du Capitaine Gregory Peck (superbe pour ne pas dire royal, bronzé comme un toast) qui part à l'autre bout du monde dans le Pacifique pour aider un dictateur contre les Espagnols, puis par un ralliement d'alliance qui est amené à le combattre: les canons frappent drus, les mâts tombent comme des mouches, les ponts sont jonchés de cadavres (devrais pas tarder à écrire dans la collection Arlequin, moi). Retour en Angleterre avec en prime une superbe blonde glanée en route: sur un bateau, franchement, surtout avec un équipage de 250 gaziers, pas d'autre chose à faire que de tomber amoureux de la sus-dite; mais voilà c'est trop dommage, elle va se marier et lui il l'est déjà. Ils craquent -deux doux baisers juste avant d'atteindre les côtes- et notre Capitaine de repartir à l'aventure: il flingue 4 bateaux français (ca se paiera en demi-finale samedi prochain), se fait capturer, s'échappe, c'est énorme, vole un bateau avec un équipage de prisonniers anglais, et va aplatir derrière la ligne: il transforme avec la belle blonde qui a eu la chance de perdre son mari et comme lui aussi sa femme est morte, on peut pas dire que ça se goupille mal.

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Bon les films de bateaux, c'est toujours un peu chiant entre deux coups de canons. Ca va que ce soit Walsh aux commandes: photos soignées, maquettes à l'échelle, équipage au taquet et ready à la moindre action, avec en prime l'amourette fatale à laquelle, alors là, franchement on s'attendait vraiment pas. C'est propre, voire classique, avec juste assez de vent dans les voiles pour ne pas fermer les yeux. J'ai ma dose de mer pour un temps quand même...

Walsh et gros mythe : cliquez

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