Maîtresse (1976) de Barbet Schroeder
Ca commence plutôt pas mal avec un Gérard Depardieu qui est intéressé par "ce qui se trouve derrière les façades". Il sera certes surpris au début mais pas déçu par la suite de voir que le premier appart quand lequel il pénêtre subrepticement est une salle de pratique sado-masochiste. Au final? pas de quoi fouetter un chat malgré un Depardieu et une Bulle Ogier en grande forme. Ce ne sont pas un suçage de talon aiguille ou une crucifixion de bite (je parle bien au sens littéral, cela n'a rien à voir avec de quelconques figures de patinage artistique) qui rendent le film inoubliable. Depardieu se fait de plus en plus curieux pour éclaircir le mystérieux homme qui protège cette maîtresse pour adultes pas sages et la troublante scène finale qui tente de répondre à la question cruciale "faire l'amour ou conduire, il faut choisir" nous laisse définitivement sur notre faim. Cuir? (pour les fans de Lafesse, première époque radio...)