Harry Potter et le gobelet de feu (2005) de Mike Newel
Bon on a pas dit non plus qu’on était obligés de voir que des bons films… Harry Potter, c’est un peu comme la rentrée des classes : au début, on est un peu excités de retrouver tout le monde, de savoir qui sera la nouvelle prof de sciences nat… mais au bout de quinze minutes on se laisse déjà gagner par le sommeil, la prof de sciences nat est pire que la précédente and so on… alors bon on essaie de s’accrocher quand même jusqu’au bout parce qu’on sait très bien que c’est jamais fini.
Cette année j’ai moins dormi que la précédente. La grande nouvelle c’est que Harry Potter se rend compte qu’il a une deuxième baguette. Elle est pas encore magique mais on sent que ça commence à le titiller… Encore 5-6 épisodes et je donne pas cher de la chtite Hermione. Autre bonne nouvelle, on passe à l’air de la globalisation avec Harry qui découvre les charmes des Indiennes et des Chinoises… Ca sent vraiment l’ouverture des marchés… Ce serait moins pathétique si Mike Newel n’avait pas fait Donnie Brasco. Il a dû casser sa baguette en route.